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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 15:36

À six heure treize très exactement, ce vendredi-là, les grands yeux bleus de Lucy Angkatell s’ouvrirent sur une nouvelle journée. Or, celle-ci n’allait pas être comme les autres. Ce matin là, les parents de Lucy étaient en train de se disputer sur un ton si violent que Lucy eut très peur.  La jeune fille n’osa plus descendre. Elle ne les avait jamais vus aussi énervés. Il était six heure trente et Lucy était encore dans sa chambre. Voilà un quart d’heure qu’elle attendait que la dispute s’arrête mais rien à faire. La fillette décida de descendre, elle prit son petit déjeuner quand sa mère surgit; elle lui dit qu’il ne fallait pas descendre si tôt, Lucy ne répondit rien. Enfin, elle fut prête pour partir à l’école. Sur le chemin, elle marchait très vite pour rejoindre ses amis et leur expliquer ce qu’il venait de se passer. Quand elle arriva à l’école, Lucy était encore inquiète de savoir comment allait se terminer la dispute.

« Qu’est-ce qui ne va pas Lucy ? demanda l’une de ses copines.

Lucy lui répondit :

- Mes parents se sont disputés ce matin, ce n’était pas une dispute habituelle, celle- là était beaucoup plus violente.»

Ses amis lui répondirent qu’il ne fallait pas s’inquiéter et que ça leur passerait. La cloche sonna et Lucy entra en classe. Soucieuse, elle ne participa pas au cours et pensa beaucoup à ses parents. À midi, elle décida de quitter l’école sans prévenir personne, pour aller rejoindre sa mère et lui parler…

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 15:33

C’est lundi et comme tous les lundis je suis allée chez Mme Burlaud. Je m’appelle Lucie, Lucie Bugkell. J’ai 14 ans et je suis en 3ème, j’habite à Quintin dans la rue du Vaux de Gouët et un peu plus haut habite une vieille dame, Mme Burlaud.

Elle a perdu son mari il y a deux ans ce qui fut pour elle très dur à vivre. Seul son chat, Coton lui tient encore compagnie. C’est pour cela que tous les lundis Je vais avant les cours lui rendre visite et lui apporter un ou deux œufs de mes poules. Elle est toujours très contente de me voir et me répète toujours les mêmes phrases :

 « Oh ! Lucie, quelle surprise ! Comment vas-tu ? Oh ! Des œufs ! Tu n’aurais pas dû ! » 

Elle est tellement gentille que cela ne me dérange même pas. D’ailleurs je la considère un peu comme ma troisième grand-mère.

 

Ce matin, ce lundi matin plus précisément, comme toujours,  j’ai pris mes deux œufs, mon sac, mon manteau et je suis partie chez elle. La lumière était éteinte et la porte fermée, j’ai tout de suite imaginé le pire. J’ai couru chez moi pour regarder les obsèques  d’hier dans le journal en priant pour qu’elle n’en fasse pas partie, mais elle n’y était pas. J’étais désemparée. Mais où pouvait-elle être ?

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 15:15

Monsieur N n’avait pas été un criminel toute sa vie. Quand il était plus jeune, Monsieur N travaillait pour la CIA et son nom de code était Mr N. Chaque  jour, il accomplissait des missions à haut risque : sauter d’un avion incontrôlable sans parachute ou encore détruire un avion de chasse en camion. Plus tard, Monsieur N avait été renvoyé et on l’avait fait perdre la mémoire sur tout ce qui concernait la CIA. On l’avait jeté sur la route, sans argent. Il s’était réveillé lorsqu’une voiture avait brutalement freiné pour s’arrêter juste devant lui. L’homme qui conduisait l’avait embarqué dans sa voiture et avait continué son chemin. Lorsque Monsieur N avait ouvert les yeux, il n’était plus sur le sol dur et bitumé mais sur un lit moelleux et très confortable. Il s’était levé et avait allumé la télé, personne n’était dans la maison. A la télé on parlait de la fin du monde en 2012. Tout à coup, Monsieur N avait eu un flash : il avait vu un commandant habillé d’une chemise noire. Lorsqu’il était revenu à la réalité, il s’était mis à dessiner ce qu’il avait vu. Le soir même, il avait beau se concentrer sur l’image, elle devenait de plus en plus floue. Devenait-il fou ? Pourquoi avait il eu ce flash ? Le lendemain, il était allé en ville avec de l’argent trouvé dans la rue. Lorsqu’il était arrivé au bord de la ville, il avait vu un magasin d’armes, il s’était arrêté devant. Il avait eu un autre flash.  

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 14:53

C’est  un lundi comme tous les lundis, je suis allée chez Mme Burlaud. Or ce lundi  elle n’était pas chez elle !

C’est étrange car madame Burlaud  ne sort  jamais  de chez elle sauf  pour aller au marché et elle est toujours rentrée à midi, or il était quatorze heures.

Monique Burlaud est une personne âgée environ de soixante-dix ans. Oui,  environ, car Monique ne voulait pas donner son âge.

Comme j’ai le double des clés, j’ai décidé d’entrer. Monique n’était pas là ! Peut-être est-elle allée faire une promenade, ai-je pensé comme pour me rassurer.

Je suis repartie en me disant : « Elle va  sûrement revenir plus tard, je vais repasser.»

Deux heures plus tard, me revoilà. Monique n’était toujours pas là.

Or quelque chose avait changé : il y avait des traces de pas sur le plancher, une lettre était apparue sur la table de la cuisine.

J’ai ouvert cette lettre qui m’était destinée et là une page  totalement blanche !

Qu’est-ce que cela voulait dire ? Me lançait-on une énigme ? J’ai appelé la police.

Deux policiers sont arrivés presque aussitôt et m’ont posé plusieurs questions auxquelles j’ai répondu sans difficulté. Pourtant, une question m’a complètement bloquée : « Monique avait-elle des ennemis ? »

 

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 13:25

À six heures treize très exactement, ce vendredi-là, les grands yeux bleus de Lucy Angkatell s’ouvrirent sur une nouvelle journée.

 

Lucy Angkatell, 15ans, se leva pour se préparer pour ensuite aller à son collège, le lycée-collège Jean XXIII. Elle était en 3ème A. Tout se passait bien là-bas, elle était assez belle et sympathique alors tout le monde la respectait enfin... à peu près…

Oui, d’habitude on la respectait, mais ce jour-là n’était pas un jour comme les autres… elle allait passer l’une de ses pires journées !

Elle marchait tranquillement pour aller à son école, quand tout d’un coup elle croisa son meilleur ami, Adrien. Elle voulait lui dire bonjour en lui faisant la bise mais il se recula, la regarda bizarrement et partit.

Lucy l’appela, en lui demandant pourquoi il faisait ça, mais pas de réponse…

 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 20:22

C’est lundi comme tous les lundis, je suis allée chez Mme Burlaud. Elle est si gentille Mme Burlaud. Elle m’a tout appris de la musique. C’est elle qui m’a montré comment choisir l’instrument qui me conviendrait le mieux. D’ailleurs c’est grâce à la musique que je l’ai connue :

 

Un jour, une vieille dame nommée Mme Burlaud est arrivée pour s’installer dans l’immeuble. Elle était assez petite, des lunettes sur le bout du nez, deux petits yeux bien noirs, une touffe de cheveux bruns et bouclés et un gros collier de perles rondes. Les parents et moi sommes allés lui souhaiter la bienvenue dans notre immeuble. En arrivant devant sa porte, nous avons entendu une douce mélodie, une mélodie de piano. La vieille dame nous a ouvert la porte et nous a fait entrer. Elle nous a invités à boire un verre et c’est là que j’ai vu un piano à queue.

 

Il trônait dans le salon à la place du canapé. Il était magnifique : tout noir avec des touches blanches. Il brillait au soleil. Comme je ne le quittais pas des yeux, elle m’a demandé si je voulais apprendre à en jouer. Cela me plaisait beaucoup et mes parents étaient d’accord.

Donc ce lundi, comme tous les lundis après l’école, j’ai sonné à la porte de Mme Burlaud pour mon cours de piano. La sonnerie a retenti, mais personne n’est venu ouvrir…

 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 20:16

C’est lundi et comme tous les lundis je suis allée chez Mme Burlaud. Mme Burlaud est la directrice du collège. Moi, je m’appelle Marie Huchter, j’ai 14 ans et j’habite à Bondue dans le Nord de la France. En ce premier jour de semaine j’ai rapporté les billets d’absence à Mme Burlaud.

Je me suis retrouvée là devant sa porte en ce lundi matin comme un autre lundi matin quelques mois plus tôt. Cette fois-là, je m’étais dirigée vers son bureau lorsque j’avais aperçu une inconnue. La rentrée était déjà passée depuis un mois, mais on recevait encore des nouveaux élèves. J’avais déposé les billets à la secrétaire puisque Mme Burlaud semblait occupée. Mais elle m’avait fait signe de venir. Elle m’avait montré cette fille et m’avait demandé si je pouvais lui faire visiter l’établissement après le déjeuner. J’avais accepté immédiatement. J’étais retournée volontiers avec elle en classe puisqu’on était dans la même salle. Et c’est ainsi que toutes deux, nous avons fait connaissance. Elle se nomme Natacha, elle est blonde aux yeux bleus et elle a le même âge que moi. Nous sommes devenues de plus en plus complices. Chaque soir elle faisait ses devoirs chez moi et après on s’amusait. Elle passait également ses week-ends à la maison car ses parents étaient de garde à l’hôpital.

Or ce matin, l’heure des cours a sonné et Natacha n’était pas encore arrivée. Que se passait-il ? Elle qui est toujours à l’heure d’habitude. A cause de son retard je me suis dirigée vers la table de Mme Burlaud pour voir si elle savait quelque chose. Mais non rien …

 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 19:45

Monsieur N n’avait pas été un criminel toute sa vie. Enfant, il était brillant dans toutes les matières. Il était le meilleur de sa classe et même de son école. Monsieur N était souvent félicité par ses parents et sa famille. Il voulait être médecin. Il était tout le temps à lever la main pour prendre la parole et tout le temps, il avait la bonne réponse.

Adolescent, sa moyenne avait baissé mais il était toujours le meilleur de sa classe et de son collège. Pourtant Monsieur N était fatigué d’être appelé « l’intello » par ses camarades de classe alors il commença à ne plus travailler, à discuter en plein cours. Au troisième trimestre, il était le dernier de sa classe et même de son école. Les professeurs voulaient le faire redoubler mais l’avaient fait passer en lui demandant s’il voulait redevenir le meilleur. Il voulait passer en 4ème mais il hésitait à travailler comme quand il était enfant. En 4ème, il avait travaillé comme un acharné, n’entendant rien de ses camarades qui voulaient le faire suivre le mauvais chemin. Il passa dans la classe supérieure sans aucune remarque de ses professeurs. En 3ème, il avait eu son brevet des collèges. En terminale, il avait réussi son bac scientifique avec mention très bien. Il était fier de lui et sa famille aussi.

La première année à la faculté de science avait été très difficile. Il ne réussissait pas dans ce domaine. Il voulait devenir ingénieur mais il n’était pas branché dans les nouvelles technologies.

Il avait quitté l’université pour chercher du travail mais il ne trouvait rien, il s’ennuyait partout et personne ne voulait l’engager. Il avait commencé le métier de professeur et se plaisait bien en français mais il avait été licencié car on ne pouvait plus le payer. Alors il avait commencé à ne plus avoir d’argent, il s’était mis à voler car il n’avait plus rien à manger.

 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 19:37

À six heure treize très exactement, ce vendredi-là, les grands yeux bleus de Lucy Angkatell s’ouvrirent sur une nouvelle journée. Ce vendredi-là n’était un jour pas comme les autres pour elle: c’était le jour de son anniversaire. Elle alla au collège et retrouva ses amies. Toutes lui souhaitèrent un joyeux anniversaire. Elle rentra dans la classe et sa pire ennemie vint lui dire :

« Tu crois que tu es la bien-aimée car tout le monde te souhaite ton anniversaire mais ils te le disent juste car tu fais pitié. »

Lucy fit semblant de ne pas l’entendre. C’était l’heure de manger et elle rentra chez elle pour déjeuner. Sa mère lui souhaita un joyeux anniversaire et lui offrit une raquette de tennis de dernière génération. Car Lucy adorait jouer au tennis et à 14 ans, elle battait les joueurs de sa région, même ceux de 25 ans. Elles déjeunèrent ensemble et Lucy retourna au collège pour les deux dernières heures qui la séparaient du week-end. Quand elle eut fini ces deux heures, son père vint la chercher pour l’emmener à un tournoi de tennis. Elle le gagna avec facilité. Elle partit ensuite passer le week-end chez son père. Elle aimait passer ses week-ends là-bas car tous les dimanches ils allaient pêcher ensemble. Le dimanche terminé, elle rentra chez sa mère pour terminer ses devoirs. Le temps qu’il restait avant de dîner, elle joua avec son chien Roxy qui était noir et blanc. Il adorait jouer à la balle avec Lucy. Elles mangèrent un bon repas et sa maman lui dit d ‘aller faire sa douche et de se coucher.

 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 19:04

À six heures treize très exactement, ce vendredi-là, les grands yeux bleus de Lucy Angkatell s’ouvrirent sur une nouvelle journée. C’était un vendredi 13, un jour pas comme les autres, peut-être un jour de chance pour certains ou un jour de malheur pour d’autres. Mais ce jour-là, c’était principalement l’anniversaire de Lucy Angkatell. Lucy Angkatell était une fille comme les autres, enfin sûrement, elle avait treize ans, enfin presque, cheveux blonds, yeux bleus, teint mat. Elle se douta de la journée qu’elle allait passer, d’ailleurs ce matin-là elle décida de prendre du temps pour écrire son journal, acheté la veille avec son argent de poche. Elle prit son stylo plume et se mit à écrire :

« Aujourd’hui, c’est mon anniversaire, un jour spécial pour moi car je fête mes treize ans. Je suis indécise de la journée qui va passer devant mes propres yeux, et de la tournure qu’elle va prendre. Imaginez par exemple que je loupe mon car ce matin ; et que je suis obligée d’aller au collège en marchant. Je dois y aller avec les ringards du collège, et en arrivant je croise Robbie, un gars de 3ème  assez sympa qui m’a parlé l’autre jour de sa vie. Maintenant il va penser que je suis amoureuse d’un des garçons avec qui j’arrive. La honte ! En rentrant en classe je me prends un mot du professeur d’histoire à cause de mon retard. Au self, je fais tomber mon plateau. Il pleut dehors, quand je rentre à la maison, je m’effondre par terre car en plus personne ne m’a souhaité mon anniversaire aujourd’hui. J’appréhende vraiment cette journée spéciale pour moi. Bon, il faut que j’y aille car mon père m’appelle pour déjeuner. »

Elle descendit les escaliers et elle vit des cadeaux sur la table de la cuisine. Elle apprit par son père que sa mère était obligée d’aller au travail car son patron l’attendait, mais son père affirma qu’elle avait laissé un cadeau de sa part. Lucy regardait son père et lui confirma qu’elle était la fille la plus heureuse du monde ce vendredi-là.

Ainsi elle en conclut que cette journée commençait plutôt bien…

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