="fr"> printemps des poetes 2012 - Libellulus
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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 20:15

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 22:06

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 18:40

Tu vois cela d’ici. Des roses et des chênes,

Jardin qui est rempli de fleurs sur cette plaine,

Gazouillis des oiseaux qui sont sur un érable,

Mes cousines qui font des châteaux dans le sable,

Les chevaux hennissant avec les poneys blancs,

La campagne qui fait un vacarme incessant,

Pauvres cris du voisin, étouffés par les chiens.

 

Tu vois cela d’ici. Abeilles et coccinelles,

Champs où les cultures se tendent vers le ciel,

Falaises de calcaire, où repasse le vent,

Chapeaux de paille sur la tête des marchands,

Personnes vendant leurs animaux mécontents,

Vaches qui sont dans leur enclos le plus souvent,

Belles maisons en bois, posées sur le sol dur.

 

Tu vois cela d’ici. De grands arbres feuillus,

Un oiseau du matin qui chantonne et remue,

La chèvre du voisin broute l’herbe et le thym.

Et avec ça, je pense à toi dès le matin.

 

Tu vois cela d’ici. Des plantes et des fleurs,

Jardin où tous les grains de terre s’effleurent,

Dalles de béton qui reflètent le ciel bleu,

Le gazon bien verdoyant sur le sol terreux,

Gravillons blancs étendus tout près de la treille.

Ma maison est ornée de toutes ces merveilles,

Les jolies baies vitrées laissant la vue parfaite.

 

Tu vois cela d'ici._Des îles, des embruns,
Eau où les dauphins croisent leurs amis requins,
Palmiers des rivages, qui accusent leur âge,
Quelques poissons bleus nageant au bord de la plage,
De beaux coquillages embellissent le sable.

 

Tu vois cela d'ici.Des menhirs et des dolmens,

Champs dont les épis semblent de l'ère romaine,

Menhir au pied sous terre que masquent des fleurs bleues,

Quelques nids de pierre penchés vers la mer bleue,

Des maisons causant sous un ciel ensoleillé,

Des chevaux qui galopent,l'air très énervés,

Beau cours d'eau breton troublé de pierres polies.

 

Tu vois cela d'ici. Des arbres, des buissons,
Forêt où les oiseaux chassent mille poissons,
Rivière à fleur de terre affleurant des roseaux,
Quelques cris des loutres entendus près de l'eau,
Paysage émouvant sous un ciel embrumé,

Un halètement sourd d'animal égaré.

 

Tu vois cela d'ici,des champs et des prairies,
Moineaux perchés dont le chant jamais ne tarit,
Chaumes de colza que masque une large branche,
Quelques planches de bois à l'abri sous la grange ,
De vieilles pierres extraites de la falaise, 

Le cours d'eau qui passe à côté d'un tas de braises.

 

Tu vois cela d’ici. Des champs et des moissons,

Prés où se dépose la brume de coton,

Chênaie de France qui abrite les oiseaux,

Une grive des bois gazouille dans les champs,

Des roses embaumant le souffle vif du vent,

Un petit lac qui miroite sous le soleil,

Un gros chêne rempli de multiples merveilles.

 

Tu vois cela d'ici, immeubles et maisons,

Un lac qui est bordé de végétation.
Un stade de football qu'entourent des maisons,
Les footballers de Plédran jouent sur le gazon,
Le soleil éclairant ma maison ombragée.

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 21:49

Tu vois cela d’ici. Des buissons, des oiseaux,
Collines et vallons où errent des ruisseaux,
Grands champs de blé bordés de chênes tourmentés

Pétales de fleurs soyeux que voile une rosée,
Coccinelle d’été joue dans le vent léger,
Papillons voletant vers les nuages blancs...
Un chat dort et se chauffe au soleil en rêvant.

 

Tu vois cela d'ici. Des arbres et des prés,

Un ciel qui est magnifiquement coloré,

Des jardins remplis de feuilles vertes qui dansent,

De nombreuses jolies fleurs de nuit de Valence,

Quelques poissons remplissant le ruisseau bleuté,

Dix-sept oiseaux qui mettent  du coeur à chanter,

Le grand drapeau de France ornant la ville immense.

 

Tu vois cela d’ici. Des champs et des maisons

Brouillard gris qui les masque à tous les horizons,

Bruits de tracteurs qui vrombissent dans le village,

Quelques bottes de paille rangées dans le garage,

De gros camions bleus arrivant dans le grand champ noir,

Un chat qui n’est ni un gros chien ou un jaguar.

 

Tu vois cela d’ici. Des dunes et des pins,
Vagues dont l’écrêtement forme les embruns,
Abri de salinier qui jouxte les marais,
Bateaux de plaisanciers qui amarrent au quai,
Roses trémières, fleurant les ruelles étroites,
Des vélos qui serpentent, de gauche à droite,
Fins grains de sable, balayés par le vent frais.

 

Tu vois cela d’ici – Des arbres et des fleurs,
Forêts où les oiseaux chantent pleins de bonheur ,
Quelques tracteurs cultivant les terres au vent,
L’éclat orangé rouge du soleil couchant.

 

Tu vois cela d'ici. Des arbres et des fleurs,

Plaines et collines qui loin, là-bas, s'effleurent,

Un chien qui creuse dans la terre et puis recouvre,

Un pauvre homme caché derrière le chêne rouvre,

Des rats d'égoûts tout noirs cachés sous le grand pont,
Une vieille maison qui domine le paysage à l'horizon.
Oh! là, un lapin blanc enfermé dans sa cage !

 

Tu vois cela d’ici. Des mustangs et des lacs,
Plaines où les chevaux galopent dans des flaques,
Crinière au vent, et puis se cabrent hautement,
Quelques poulains debout sur les rochers vibrants,
Des chevaux se ruant sur un abricot gris,
Une jument qui n’est pas blanche ni souris.

 

Tu vois cela d’ici. Des fleurs et beaux champs.
Ecoute le gazouillis des oiseaux, leur chant.
Regarde : le chat se cache dans le buisson,
Je vois quelques épines de pin sur le gazon,
La fumée blanche sortant de la cheminée,
Très petite vue d'ici, la porte d’entrée.
Je t’avais dit que le ruisseau avait coulé !
Regarde le moulin à vent, on peut entrer.

 

Tu vois cela d’ici. Des tours et des châteaux,
Site où les touristes prennent des photos,
Constructions de pierre dont j’avais des regrets
Ma maison de brique à côté du noir marais,
Un habitat dégradé, logement pale,
Un coassement de crapaud, musique exécrable.

 

Tu vois cela d’ici. Des feuilles et des fleurs,

Bois dans lequel les chiens aboient à plusieurs,

Champs d’herbes arrachées qui s’envolent au vent,

Quelques chats de voisins assis sur un banc blanc,

Les grands lampadaires éclairant la nuit sombre,

Ce grand chêne vert qui forme une drôle d’ombre,

Petits cailloux étalés sur le goudron noir.


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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 20:40

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 17:02

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 22:42

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 22:56

Si je n'avais pas la vue,

Je ne verrais pas les étoiles scintillantes

Je ne verrais pas le soleil brillant

Je ne connaîtrais pas l'éclat des diamants.

 

Si je n'avais pas l'ouïe,

Je n'entendrais pas le clapotis de la pluie

Je n'entendrais même pas ce poème

Je serais enfermé dans un silence infini.

 

Si je n'avais pas le goût,

Je ne sentirais pas le piquant du piment

Je ne connaîtrais pas l'acidité du citron

Je ne connaîtrais pas le goût des macarons.

 

Mais si je n'avais que l'ouïe,

Je ne pourrais pas te dire de belles paroles

Mais je pourrais entendre les tiennes.

Je profiterais énormément de ce sens-là

Que j'aurais seulement.

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 22:50

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 22:02

Si je n’avais pas l’ouïe

Je n’écouterais pas le chant des oiseaux

Je n’écouterais pas le coq chanter

Je n’écouterais pas minuit sonner

 

Si je n’avais pas la vue

Je devrais imaginer le monde

Je ne verrais pas le soleil se coucher

Je ne verrais ni le beau ni le laid

 

Si je n’avais pas le goût

Je ne goûterais pas les fruits sucrés du verger de mamie

Je ne pourrais pas savourer les bonnes choses de la vie

Je ne sentirais ni l’acide du citron ni l’amer du café

 

Si je n’avais pas l’odorat

Je ne sentirais pas le parfum sucré de la vanille

Je ne sentirais même pas les mauvaises odeurs

Je ne sentirais pas l’odeur de l’herbe fraîchement tondue

 

Si je n'avais pas le toucher...

..............................................?

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