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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 19:18

De : M. Adrien B.                                                                            À : M. Georges Pepard                         Kersecret                                                                                          

        22999 St Silence                                                                          41 rue de La Cante  

                                                                                                                 Bedford

         

Monsieur,

 

Je vous envoie cette lettre car vous êtes le plus grand producteur du monde à mes yeux. Et je voudrais que vous me souteniez pour adapter le roman Les Misérables au cinéma.

Je vais tout de même commencer par me présenter : Je me nomme Adrien B. et j’ai 28 ans, je suis réalisateur en tout genre. J’ai réalisé de très grands films et séries télévisés.

Tout d’abord j’ai choisi le roman Les Misérables car il a une tournure exceptionnelle, il est très convaincant et peut faire un carton au cinéma. Ce livre est aussi très connu et apprécié par beaucoup de personnes puis pour finir il est facile à réaliser.

Mais pour cela il nous faut un personnage central et il me semble qu’un personnage du roman les Misérables est toujours un héros aujourd’hui, c'est celui de Cosette. Victor Hugo l’auteur qui a écrit ce roman l'a centré sur le personnage de cette jeune fille, il s'est inspiré d'une jeune fille qui a connu l’enfance douloureuse de Cosette.

Ce personnage est toujours un héros et le sera toujours car cette jeune fille a pu s’en sortir grâce à l’amour, elle est restée optimiste en se disant qu’elle trouverait quelqu’un qui l’aimerait. Cet amour elle l’a trouvé auprès d’un bourgois riche. Elle est donc à partir de là d’une classe sociale plus élevée. Cosette sera peut être plus vigilante aux personnes qui auront vécu cette aventure monstrueuse. Cela peut arriver aujourd’hui à toutes les personnes dans le monde.

Dans le roman ce personnage est apprécié, on peut le démontrer car dans un passage un homme passe à côte d’elle et l’aide à porter des lourdes charges d’eau, jusqu'à chez ses tuteurs chez qui elle vivait.

J’ai aussi pensé à une comédienne qui représenterait bien Cosette. Elle s’appelle Alan Annick. Tout d’abord cette actrice est connue et elle a beaucoup d’expérience. Elle s’adapte aussi très bien au personnage que j’ai choisi et a beaucoup de ressemblances avec Cosette. Vous prouvez la rencontrer ou la contacter au: 06 95 77 83 22.

Dans l'attente de votre réponse, je vous d'agréer, Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments.

                                                                                                                                      Adrien B.

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 19:13

                                                                                                                    Le 29 mars 2013, Paris

Monsieur,


Je m’appelle Adèle M. et je suis réalisatrice. J’aimerais adapter le roman Les misérables au cinéma et j’aurais besoin de votre aide financière pour mener à bien ce projet.

Je considère en effet que l’histoire de ce roman est toujours actuel car on y parle de personnes dans la misère et qui essaient de s’en sortir.

J’estime en particulier que Jean Valjean est un héros dans l’histoire et encore aujourd’hui.

Tout d’abord, c’est un ancien détenu qui essaie d’oublier son passé pour être une personne normale. Aujourd’hui, on trouve encore des personnes comme lui  : Jacques Lerouge qui essaie lui aussi de se réintégrer dans la vie courante. Si bien que je pense que Jean Valjean est courageux.

De plus, il a sauvé Cosette des griffes des Thénardier qui la maltraitaient en l’adoptant. Aujourd’hui, grâce aux orphelinats, les enfants peuvent trouver une vraie famille. Par conséquent, j’estime que Jean Valjean est généreux.

C’est ainsi que, pour incarner Jean Valjean sur le grand écran, j’ai pensé à Daniel Auteuil car il a une grande carrière cinématographique. J’espère vous avoir convaincu de m’aider à financer ce projet qui me tient beaucoup à cœur.

 Cordialement

                                                                                               Adèle M. 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 20:46

Lorsque je n'étais encore qu'une toute petite fille, j'ai toujours su que le soir dans ma chambre, je n'étais jamais seule. Toutes les nuits je me réveillais et les yeux à demi-clos, j'apercevais comme une ombre, en tout cas je ressentais fortement une présence. Puis, j'étais terrifiée, je commençais à trembler puis j’appelais mon père qui comme à chaque fois, procédait à la vérification paternelle d'usage : il ouvrait les rideaux, regardait sous le lit, et ouvrait la porte du placard. Et à ma grande déception, il ne trouvait jamais rien, ni personne... Mais moi je savais que cette chose était toujours là...

 

Quand je parlais de cette étrange présence à mes amis ou à ma famille, on me prenait pour une sorte d'extraterrestre. Je vivais dans l'incompréhension et la solitude, je m’enfonçais de plus en plus dans une terreur infinie.

Je me rappelle, alors que j'étais adolescente, m'être réveillée un matin, avoir vu se tordant de douleur, mon père qui s'effondrait dans la salle de bain à cause d'un ulcère à l'estomac. Plus tard, je me suis souvenue de cette voix qui comme dans un rêve m'avait réveillée, une voix glaçante, solitaire et dangereuse me disant d'appeler les secours certainement par rapport à mon père.

 

Je lus plusieurs livres pour essayer de comprendre d’où me venaient cette voix et cette présence mystérieuse et j'aurais vraiment voulu qu'Internet existe.

A l'époque, j'en étais venue à cette théorie : cette présence qui me parlait, avait plusieurs fois sauvé la vie de ma famille et de moi même auparavant. C'était peut-être un ange, un ange gardien. Mais il est vrai qu’à cette époque, j'étais très jeune encore, dans l'adolescence, avec le besoin de vivre des expériences qui peuvent tout simplement juste sortir d'une imagination trop fertile.

 

Emma S, 4A avril 2013

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 19:12

Un matin, de très bonne heure, je me levai de mon lit, m’habillai, déjeunai puis, me regardant dans le miroir, je me vis très différent des autres jours : mon nez avait disparu ! Pourtant, j’arrivais encore à sentir odeurs et saveurs. Je me sentis vraiment paniqué !

J’accourus vers mon téléphone pour prévenir mon médecin traitant qui, dès mon arrivée à son cabinet, s’occupa de moi. Après m’avoir observé et ausculté, il me déclara que c’était la première fois qu’il voyait quelqu’un comme moi. Tout confus, je lui demandai ce que je pouvais faire pour être guéri. Il m’adressa à un spécialiste de la chirurgie esthétique. Je le remerciai et allai sans tarder voir ce chirurgien.

Le spécialiste me posa une quantité de questions auxquelles je répondis patiemment jusqu’à la dernière. Pour finir, je lui demandai ce qui m’arrivait. Hélas, lui non plus ne comprenait pas ce qui m’arrivait, la cause restait un mystère. Il décida d’attendre l’évolution et me prescrivit une liste de cachets pour essayer de me soigner.

Cependant mon état s’aggravait de jour en jour alors on décida de m’envoyer en urgence dans un hôpital de New-York spécialisés pour les patients ayant comme moi des symptômes très particuliers. Je pourrais peut-être y guérir.

Dans l’hélicoptère spécialement réservé pour me conduire dans cet hôpital new- yorkais, je fus soudain parcouru de frissons. J’éternuai à plusieurs reprises, je me mouchai et… quelle ne fut pas ma surprise ! J’avais de nouveau un nez !

Quand mon médecin traitant et le chirurgien esthétique l’apprirent, étrangement, ils s’en réjouirent mais aucun ne chercha à savoir comment un nez pouvait ainsi partir et revenir sans crier gare !

D’après Corentin, 4A, avril 2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 21:55

Je m'appelle John, j'ai 34 and et je vis dans une toute petite maison à Paris avec ma femme Isabelle et mes deux enfants Justin et George. Ma maison est toute petite car mon métier est mal payé. Je travaille sur un marché à Paris et ma femme reste à la maison avec mes fils.

En revenant du marché un jour, mon fils me dit "Papa, je crois qu'il y'a des fantômes chez nous". Vous voyez, mon fils a beaucoup d'imagination donc sur le coup,  j'ai bien ri. 
Le soir même je suis là, allongé dans mon lit et je pense que Justin a de l'imagination mais qu’il n’a jamais rien dit sur les fantômes ou des choses comme ça. Et là,  je vois l'ombre d'une personne passer dehors et je trouve cela bizarre car il y a rarement des gens à passer près de chez nous la nuit. Je vais donc directement à la fenêtre voir qui passe par là mais je ne vois personne. Confus, je finis quand même par m’endormir.

Après ce jour-là, plusieurs phénomènes paranormaux se passent. Quelques jours plus tard,  ma femme se réveilla et me dit: "Chéri, j'ai senti quelque chose me frapper le dos d'en dessous le lit. » Or,  la porte de la chambre était ouverte. Je regardai au bout du lit pour voir si c'était le chien mais non : il dormait dans son panier. Et là je commençai à réfléchir à ce que m'avait dit mon fils. Était-ce vrai ou pas ?  Le lendemain j’allai voir mon fils et je lui dis "Justin, pourquoi tu m'as dit l'autre jour qu'il y avait un fantôme chez nous?" et il me répondit: " Parce que je l'ai vu". Choqué de ce que venait de me dire mon fils, je ne dis rien pendant quelques secondes puis je lui demandai : "et il ressemblait à quoi ce fantôme ?" Et il me répondit : " je ne sais pas, il est passé très vite " et où l’as- tu vu ?  lui demandai-je.

_ L'autre soir je me suis réveillé pour aller aux toilettes et je l’ai vu passer dans le couloir. Au début je ne savais pas ce que c'était mais je me suis dis que ça ne pouvait être qu'un fantôme.

_ D'accord " lui répondis-je .

Pendant un mois en n'entendit plus rien, on ne vit plus rien et là, un soir,  on entendit un de nos enfants crier. Ma femme et moi courûmes directement dans la chambre des enfants pour voir ce qu'il s’y passait. C'était mon plus petit enfant, George : "Que se passe t'il George pourquoi cries- tu ?

_   Je viens de voir quelqu'un, bredouilla George tout effrayé.

Et Justin ajouta : Si ça se trouve, c'est le fantôme papa.

_  Non non c'était juste un cauchemar, George. Ne t'inquiète pas mon chéri. Isabelle, tu veux bien dormir avec George ? Je crois qu'il a besoin de sa mère. Moi, je vais dormir ici avec Justin. »

 Quand George et Isabelle furent sortis de la chambre, je demandai à Justin s’il avait vu quelque chose et il me dit que non.

Une semaine plus tard on entendit encore un cri mais cette fois ce n'était personne de nous. Cette fois, j'appelai la police et le lendemain, les policiers vinrent chez nous et après notre conversation, ils décidèrent de contacter les anciens propriétaires de la maison pour leur demander si eux ils avaient pu remarquer quelque chose comme ça.

Cinq jours après, on entendit frapper à la porte. C’était la police. Les policiers nous révélèrent que les propriétaires d'avant étaient tous les deux morts dans leur sommeil. Moi et ma femme, effrayés, nous prîmes la décision de quitter la maison avec nos enfants et en attendant la vente de la maison, nous partîmes vivre chez ma mère qui vit seule à la campagne.

Trois  mois plus tard : Notre maison a été vendue, les acheteurs ont décidé de l'abattre et de construire de nouveaux bâtiments. Nous recherchons une nouvelle maison.

Un an après nous avons trouvé la maison parfaite pour nous quatre  et le chien à trente minutes de notre ancienne maison et avec beaucoup d'espace pour les enfants et le chien. Et depuis on n’y a jamais entendu de bruit ni vu errer personne la nuit.

Danny, 4C, avril 2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 17:41

Mon navigateur G.P.S 

Je devais me présenter à une épreuve d’examen ce mercredi 12 juin 2012. Etant jeune conductrice, j’emprunte le véhicule de mes parents qui est équipé d’un navigateur G.P.S, ce qui est toujours très utile.Après avoir rentré les données de ma destination dans l’appareil, même si le trajet ne m’était pas totalement inconnu, je pris la route de façon à avoir une heure d’avance sur l’horaire prévu.

J’étais à l’aise au volant lorsque la voix du G.P.S me demande de suivre un itinéraire différent de celui que je devais normalement emprunter. Très surprise, je ne savais plus quelle direction prendre… Comme cette voix répétait la même chose en boucle, je finis par suivre l’itinéraire qu’elle me prescrivait, j’étais perturbée car j’avais l’impression de m’éloigner du lycée. 

 Cette route me semblait semée d’embûches (travaux, feux tricolores, etc..) de plus une brume de plus en plus épaisse gênait ma visibilité, je me sentais égarée et bien seule lorsque que je me rendis compte que j’avais oublié mon téléphone portable  à la maison. Je paniquais, j’essayais de trouver une indication qui me permettrait de reprendre mon chemin. Le temps passait j’étais très nerveuse et je n’arrivais même pas à éteindre ce maudit G.P.S, j’étais au milieu de nulle part.

Pourquoi n’y avait-il rien ni même personne qui puisse m’aider…Cet appareil semblait avoir perdu toutes ses données, qu’allait-il m’arriver ? J’étais seule, j’allais louper l’heure pour me présenter à cet examen à moins que quelqu’un ne me vienne en aide…  

Or les choses empiraient : Je n’avais plus le contrôle de ma voiture, elle prenait les directions sans que je puisse tourner le volant, les vitesses s’enchaînaient sans que je ne touche le levier de vitesse. Je ne maîtrisais plus rien, les clignotants s’allumaient tout seuls.    J’avais si peur, j’étais terrorisée !

Plus tard, quand il me fallut expliquer pourquoi j'étais si en retard au centre d'examen, personne ne voulut me croire. Et pourtant c'était vrai, je vous l'assure.

Alissa, 4C, avril 2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 17:33

Cher lecteur,

 Je m’appelle Bryan. Comme tous les étés, je fais une fête des cousins. Tous les jours, je vais à la plage avec eux. Aujourd'hui, on est jeudi et il fait très beau. Je suis à la plage avec Thomas, Cloé, Marion et Martin. Nos journées sont plutôt rudes et je suis souvent fatigué le soir quand j'arrive à la maison.

 Ce soir-là aussi, je le passai dans ma chambre, car j’étais trop fatigué. Le lendemain matin nous, enfin je, partis avec Upso, mon chien, à la plage pour le promener. Il y avait plein de monde. Je croisai une amie de l’école, Bella. Je m'assis à côté d'elle pour lui parler et soudain je sentis une sueur froide, des fourmis partout dans le corps. J’entendais des sifflements, Bella me demanda si j'allais bien,  je lui répondis que ça allait mieux.

Tout à coup je vis un point noir dans le ciel qui bougeait et qui s'avançait vers moi et ma copine. Petit à petit, je voyais le point noir avancer de plus en plus vite. Je demandai à Bella si elle voyait la même chose que moi et elle me répondit  que non et que je me faisais des illusions, je lui assurai que ce n'était pas des mensonges mais elle ne m'écoutait pas.

 Moi je voyais toujours cette boule noire devenue trente fois plus grosse qu’avant. Soudain une bouffée de chaleur vint sur moi ! Or, ce que je trouvais  bizarre, c'est que même ma voisine sentit la vague de chaleur.

Tout à coup un frisson me parcourut, je tremblais comme une feuille. À un moment de réflexion, je regardai le ciel  et je constatai qu'une météorite allait nous tomber dessus. Je me dis que soit c'était une illusion, soit c’était la vérité. Pourtant, personne ne s'en rendait compte. Toutes les images de ma vie  passaient  dans ma tête. Je ne pensais plus qu’à une chose : m’enfuir, vite !

Alors je dis à Bella qu'il fallait que l'on parte, la météorite allait tomber dans à peine dix secondes. Je lui pris la main, j’appelai Upso qui était plus loin. Il courut vers moi et je lui disais stop mais il ne m’entendait pas. Soudain l'énorme boule surgit et s’écrasa contre mon chien.

Je me réveillai en sursaut, mon chien n’était plus là, d’habitude il était près de moi quand je dormais, devant mon lit.  Était-il mort ?

Titouan, 4C, avril 2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 09:45

La légende du Loch Ness

 

Le mois dernier, pendant les vacances de février, je passais mes vacances en Écosse, avec mon oncle. Ce dernier habitait un immense château au bord d’un lac appelé le Loch’ness. Dès mon arrivée, il me fit visiter la vaste demeure. Il m’ouvrit toutes les portes sauf une. Je n’osai pas lui poser de questions craignant de l’offusquer.

 

Après le souper j’attendis patiemment que mon oncle s’endorme. J’avais décidé de découvrir ce qui se cachait derrière cette étrange porte. Lorsque j’entendis des ronflements sourds provenant de sa chambre, je m’éclipsai de ma chambre sur la pointe des pieds. Une fois que je fus arrivé devant la porte, je remarquai qu’elle était fermée à clé. Heureusement pour moi j’avais vu une clé accrochée à un clou dans la cuisine. C’était sans doute celle que je cherchais. Je courus à la cuisine, saisis la clé et me précipitai de nouveau à la porte. Maintenant qu’elle était déverrouillée, je fis pivoter la poignée de cuivre et la porte s’ouvrit. Je m’aperçus alors que la pièce était plongée dans l’obscurité et que j’avais laissé ma lampe de poche sur mon lit. Je m’apprêtais à faire demi-tour lorsque de grands candélabres s’allumèrent, comme s’ils avaient lu dans mes pensées. Je pénétrais dans la pièce quand la porte claqua bruyamment, un frisson d’angoisse me parcourut le dos. Je me rendis compte que ce n’était pas autre chose qu’une immense bibliothèque. Mais alors, pourquoi mon oncle l’avait-il fermée à clé ? Ces livres étaient-ils si précieux pour lui ? Avait-il quelque chose à cacher ?

 

Je m’approchai de la première étagère et choisis un livre au hasard. Il s’intitulait : La Légende du Loch Ness. Je l’ouvris et commençai à le lire ; c’était l’histoire d’un monstre marin qui vivait dans un lac : le Loch Ness. Dès les premières lignes je fus captivé par l’histoire. Il se faisait tard, et à la fin du second chapitre je me surpris à somnoler. Soudain une bourrasque d’air froid me glaça jusqu’aux os. Cela m’intrigua puisqu’il n’y avait qu’une seule entrée : la porte par où j’étais entré mais elle s’était refermée. Je sentis la peur monter en moi. C’est alors que les livres sur les étagères se mirent à trembler, certains même tombèrent tellement ils bougeaient. Ils s’ouvrirent et les pages se mirent à tourner d’elle-même. Le vent redoubla et le livre qui se trouvait sur mes genoux se mit soudainement à briller d’un éclat aveuglant. Les candélabres s’éteignirent et se rallumèrent. Puis il y eut un épais brouillard. Quand il se dissipa peu à peu je découvris un lac qui ressemblait étrangement à la description du livre.

 

Et soudain un immense monstre émergea de l’eau. Je m’affolai devant ce monstre qui s’approchait de moi. Plus je reculais, plus il avançait et plus il me paraissait doux et sympathique. Il posa sa tête sur le sol et me fit comprendre par un cri aigu qu’il voulait me montrer quelque chose. Je montai sur son dos et il m’emmena sous l’eau. C’était vraiment très étrange, je pouvais respirer sous l’eau ! Il me fit découvrir une grotte, au bout de celle-ci quelque chose brillait intensément. Plus on s’approchait et plus la lumière devenait éblouissante. Je descendis le long de son dos. La source de lumière provenait en fait d’un coffre avec des diamants, des bijoux, des rubis et de nombreuses pierres précieuses. Mais ce qu’il y avait de plus extraordinaire c’était les gros œufs du monstre ! Ils étaient étincelant et brillaient de mille feux ! Je compris alors que le monstre était en fait une femelle. Je me retournai pour la féliciter mais il y avait dans son regard une grande peur. Je ne compris pas tout de suite ce qui l’effrayait quand la grotte trembla et un puissant courant m’entraîna. Je me cognai violemment la tête contre les parois de la grotte et je perdis connaissance. Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur et avec un horrible mal de tête. Je me trouvai à présent au bord du Loch Ness et le château de mon oncle se trouvait derrière moi. Je me précipitai au château pour prendre mon petit déjeuner tout en interrogeant mon oncle :

«    Le Monstre du Loch Ness a réellement existé ?

-         Bien sûr, me répondit mon oncle, et il existe toujours ! »

Surpris de sa réponse je me demandai si je l’avais réellement vu ou non.

Leila, 4C, avril 2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 09:35

C’était en 1999. Le grand-père de Tobio était en pleine saison de moisson, sa moissonneuse était en panne, il avait appelé le garagiste pour venir la dépanner mais celui-ci ne pouvait point venir car ce dernier était dépassé par le travail. Il fallait à tout prix que le grand-père de Tobio trouve une moissonneuse de rechange car la saison des pluies allait commencer et il lui restait six champs à battre. Il allait dans toutes les fermes voir s’ils avaient besoin de leur moissonneuse mais tous en avaient besoin car la saison des battages duraient deux mois. Or, le grand-père de Tobio n’avait fait que la moitié de la saison et il n’avait plus de moissonneuse. Il commençait à se dire dans le village que le grand-père était victime du mauvais sort.

Il appela son fils qui, lui habitait en Amérique. Il fallut faire traverser par bateau la moissonneuse du père de Tobio d’Amérique en France puis par transport routier mais cela coûtait trop cher pour le grand-père de Tobio qui était pauvre alors le père de Tobio finança la moitié du voyage pour l’aider. Personne dans le village n’avait jamais entendu parler de ce fils d’Amérique jusque là mais tout le monde dut se rendre à l’évidence : une moissonneuse rutilante était là prête à se lancer à l’assaut des champs de céréales du grand-père.

Le grand-père de Tobio poursuivit ensuite sa moisson sans se préoccuper des ragots et il la finit juste à temps. Il eut à peine le temps de presser la paille et de la ramasser que la pluie arrivait pour une grande période d’intempérie. Cette année- là il plut beaucoup, la rivière, était sortie de son lit et les sources étaient montées en une semaine.

Yann, 4C, avril 2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 09:15

 Il y a deux semaines avec un ami nous sommes partis en vacances dans le Sud-Est de la France et avons eu la chance de pouvoir dormir dans un château rénové qui datait du XVe siècle.

Dans ce château il y avait énormément de décoration et c’était très coloré. Le propriétaire du château nous a dit que les lieux avaient appartenu  à un évêque il y longtemps mais qu’il avait dû le vendre car il ne pouvait plus l’entretenir.

Le château était immense et j’avais tous les soirs beaucoup de mal à trouver l’endroit où se situait ma chambre, celle-ci était plus grande que mon appartement tout entier à Paris. Sur les murs, on pouvait voir une dizaine de tableaux très anciens et des armures de chevaliers exposées sur des mannequins dans tous les coins de la pièce. Des lances de plus de deux mètres étaient posées près de de ces armures de fer. Au milieu de la pièce un lit à baldaquin rouge prenait toute la place.

Un soir en me couchant j’eus une impression bizarre comme si quelqu’un ou quelque chose me fixait, j’essayai de ne pas prêter attention mais tout d’un coup j’entendis dans la salle de bain des bruits de pas. Je vis alors sortir de la salle de bain un des mannequins en armures tenant une épée à la main. A ce moment, je me mis à trembler comme une feuille alors même que toutes les autres armures se mettaient à bouger.  

L’armure qui venait de sortir de la salle de bain se mit à combattre une des armures de  la chambre avec une force incroyable. Les personnages des tableaux qui bougeaient aussi, apeurés, se cachèrent tous derrière une grande armoire pour ne pas recevoir de coup de lance  ou d’épée et je fis de même.

Je reconnus aussitôt un des personnages des tableaux. Ce n’était autre que Vincent Van Gogh ! Je vis alors qu’il essayait de me parler mais je n’entendais rien avec le fracas  des armes et armures. Soudain, je reçus un coup de  poing au ventre par une des armures et je sentis que mon corps tombait et je m’évanouis.

Le lendemain, je me réveillai sur  mon lit avec une épée à  la main, mais tout dans la pièce était en ordre. Sur l’épée on pouvait voir du sang et le béret de Vincent Van Gogh y était accroché, de plus le tableau d’où il était sorti avait disparu.

Avais-je  rêvé ou tous les évènements de la veille étaient-ils bien réels ?

Je ne le savais pas et je ne le saurais sans doute jamais, aucun témoin n’ayant assisté à cette scène avec moi.

Kélig, 4C, avril 2013

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