Grand Benoit
Il était une fois un garçon, il s'appelait Benoit. Il vivait à Bordeaux. Benoit était plus grand que tous ses amis. Un jour, il portait un pantalon bleu et un t-shirt gris mais son t-shirt était trop grand et ses amis se sont moqués de Benoit. Benoit aimait ses amis, leurs moqueries lui firent de la peine. (Niklas 8A)
Cependant, alors que Benoit trainait seul et triste dans les rues, il aperçut un garçon richement vêtu selon la dernière mode. Benoit ne pouvait s'empêcher d’être un peu jaloux. Il alla vers lui et lui demanda le chemin pour aller à la patinoire Mériadeck. Le garçon lui répondit aussitôt sans enthousiasme mais aimablement:
“J’y vais aussi, allons-y ensemble.”
Et c’est ainsi que Benoit fit le chemin avec l’inconnu richement vêtu. Ils marchèrent longtemps côte à côte, prirent ensemble le tramway et, étrangement, le jeune homme ne desserra pas les dents, ni pour sourire, ni pour parler. (collectif, 2nde)
C’est ainsi que le pauvre garçon se rendit compte que le garçon riche était triste, profondément triste. Puis il décida de lui proposer une course de patinage sur la glace. Ils glissèrent, virevoltèrent et se poursuivirent longtemps sur la grande piste gelée. Au moment de se quitter, le garçon riche donna à Benoit son adresse. Tous les deux, ils devinrent meilleurs amis et ils le sont toujours. (Margherita V, Chiara S, Alice P, Giada D, Caterina R, 5D)
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Il était une fois un joli petit chien tout mignon, qui était souvent taquiné car il y avait
des grandes oreilles. Pourtant il était aussi beau sinon plus que les autres chiens. Alors il se retira pour aller vivre seul dans les bois, sous un arbre. Pour tout confort, il avait une veste rouge qu’il avait trouvée dans les abords de la ville et il s’en servait comme oreiller.
(Rebecca 8A)
Or, un jour de fête nationale, le chien alla s’acheter des rosettes et il les posa sur ses oreilles. Les rosettes étaient roses et très pimpantes. Comme, il vivait sous un arbre, il construisit une belle maison abritée des rayons ardents du soleil par la frondaison. Fier de son oeuvre, il invita tous les autres chiens pour une grande fête. En le voyant, beaucoup de chiens furent jaloux de lui et à leur tour, ils achetèrent des rosettes, mais leurs oreilles étaient trop petites pour les porter, impossible de les faire tenir ! (Anna R, Matteo S, Leonardo C, Chiara S, Bianca Z, Virginia M, 5D)
De rage, les chiens aux trop petites oreilles commencèrent à critiquer Léo, le joli petit chien aux grandes oreilles :
« De toute façon, les chiens à grandes oreilles ne sont pas aimés par les hommes ».
Ils étaient jaloux qu’il n’y ait que Léo à pouvoir porter des rosettes sur ses oreilles. Léo très attristé partit en ville et là, des nuées d’enfants et de parents s’attroupèrent autour de lui. Tout le monde le trouvait mignon.
C’est ainsi que Léo réussit à trouver un maître très sympathique qui l’accueillit chez lui, dans une très belle maison, remplie de moelleux oreillers rouges. Léo comme dans ses rêves devint « chien de garde »! (Alan.2nde)
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Sous le tee-shirt sale de Pierre
Il était une fois un chien. Il était plus grand que ses sœurs et ses frères. Il était le plus grand de tout son quartier. Il s’appelait Pierre. Pierre était un chien bizarre. Il était vert et il portait des jeans et un t-shirt. Son t-shirt était trop grand et sale. (Liisa 8A)
Or, si Pierre portait ces vêtements, c’était pour cacher un grand secret. En effet, il avait sur le dos de belles ailes dorées qui semblaient celles d’un ange. Personne ne connaissait son secret, sauf son ami Mathieu, un petit lapin. (Alice P, Giada D, Caterina R, Margherita V, Chiara S. 5D)
Un beau jour, par un bel après-midi, Mathieu, le petit lapin, jouait avec son ami Paul, un renard très laid et sans s’en rendre compte, il lui raconta le secret de Pierre. Paul, qui ne croyait pas ce que lui racontait son ami, alla voir Pierre et lui lança d’un ton goguenard :
« Hé ! Toi, le grand Pierre, est-ce vrai que tu as de grandes ailes dorées sous ton grand tee-shirt sale ? C’est Paul, le renard, qui me l’a dit. »
Pierre n’en revenait pas que son ami ait pu le trahir. Il voulut nier, il n’y parvint pas et reconnut avec une grande tristesse :
« Oui… Promets moi que tu ne le … »
Avant même que Pierre ait pu finir sa phrase, Paul était déjà parti.
Une semaine après, tous les gens du village étaient au courant du secret de Pierre mais tout là-haut près du soleil, se déployaient de grandes et majestueuses ailes d’or.
(Raphaël, 2nde)
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Élaine et le chemisier rouge
Il était une fois une fille, nommée Élaine. Elle portait toujours un chemisier rouge. Ce chemisier était le préféré d’Élaine.
Elle vivait dans un petit cottage situé dans une très grande forêt, une forêt plus grande que New York ! Mais un jour, la sorcière qui mangeait les adolescents arriva dans la forêt. ( Lotta 8A)
Élaine avait peur, elle ne dormait plus la nuit. La sorcière avait mangé beaucoup de ses amis. Quand Élaine comprit que la sorcière était en train de s'approcher de sa maison... elle établit un plan. Elle allait attirer la sorcière dans la forêt avec une grande poupée qui lui ressemblait et qui portait son chemisier rouge; Ainsi elle pourrait la capturer et la tuer.
« Mademoiselle Élaine, mademoiselle Élaine ! Ouvrez-moi la porte ! Je vous apporte de la part de votre grand-mère Cendrillon, des galettes et un petit pot de beurre, » disait une voix chevrotante sur le seuil du cottage.
Élaine, qui venait de placer sa poupée en chemisier rouge tout au bout de l’allée qui conduisait au cottage appela de l’autre bout du bois : « Hou, hou, je suis là, je suis là ! »
La sorcière vit la poupée et se jeta goulument sur elle. Élaine la captura au milieu du festin…
Au soleil levant la sorcière avait disparu. Élaine avait perdu son chemisier, mais elle avait sauvé la vie de tous les adolescents. (Anna R, Matteo S, Leonardo C, Chiara S, Bianca Z, Virginia M, 5D) (Alan, 2nde)
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Il était une fois garçon impressionnant, fort, sportif, beau, intelligent et drôle. Or, malheureusement pour lui, il n'avait plus d'amis. Au début, il prit cela à la légère et alla au devant de ses anciens amis en fanfaronnant : « Alors, c’est à cause de ma chemise laide que vous me fuyez comme la peste ? Allez hop, je retourne ma chemise ! » dit-il en s’esclaffant. (Roy 8A Raphael, 2nde)
Mais les autres restèrent de marbre. Le garçon s’en étonna et il leur demanda pourquoi ils n'avaient pas ri. Ils lui répondirent qu'ils s’étaient lassés de ses blagues et que, pour cette raison, ils ne voulaient plus passer de temps avec lui.
Le garçon resta tout seul et il pensa que si les gars ne l'aimaient pas uniquement pour ses blagues, alors ils n'étaient pas vraiment ses amis. Alors, il commença à chercher de nouveaux.
Quelques jours plus tard, dans le bus, il rencontra un garçon bien sympathique, un peu débraillé: il portait une chemise laide et un jean déchiré. Il n'avait pas d'amis. Les deux parlèrent longtemps et devinrent les meilleurs amis du monde. (Gaia V D)(Raphael 2nde)